L'image représente l'affiche du colloque où apparaît le titre en noir en français et en bleu en anglais. Le fond est marron et des écritures blanches apparaissent mais ne sont pas lisibles.

Colloque « Intertextualité dans la littérature anglophone : problématiques contemporaines, de l’emprunt à l’écho / Intertextuality in Anglophone Literature: Contemporary Reflections on Traces and Echoes », 29-30 novembre 2024

Le colloque se tiendra à la Maison de la Recherche de la Sorbonne Nouvelle (4, rue des Irlandais – 75005 Paris), salle Athéna, les 29 et 30 novembre 2024.
Le conférencier plénier sera Graham Allen, et une table ronde aura lieu le samedi après-midi présence de Julia Kristeva.

Nous serons ravi·es de vous retrouver à cette occasion.

Le comité d’organisation : Yasna Bozkhova, Florian Bousquet, Béatrice Pire et Aliette Ventéjoux

Programme (téléchargeable ici)

Vendredi 29 septembre

Matin

9h30-11h – Panel 1 – Intervocalité / Intervocality

Richard Aldersley (NYU), “A Recurrent Chant”: The Lyric Ecology, Moral Economy, and Modernist Intertexts of a Fable

Martin George (Université Paris Cité), Performer l’intertexte burroughsien chez Laurie Anderson et John Giorno : vers une « intervocalité »

Jean-Philippe Heberlé (Université de Lorraine), De l’intertextualité dans Flight (1999) de Jonathan Dove et April De Angelis : de l’écho à l’emprunt

11h-11h30 Pause-café

11h30-12h30 – Panel 2 – Échos postcoloniaux / Postcolonial Echoes

Baptiste Rembert (Sorbonne Université), Queering Myth: Intertextual Dialogues of Desire and Identity in the Works of Anne Carson and Tommy Pico

Tianran Zhang (University of Amsterdam), Decolonising the Boudoir: Gender and Modernity in Ling Shuhua’s Ancient Melodies

12h30-14h30 Déjeuner

Après-midi

14h30-15h30 – Keynote

Graham Allen (University College Cork), The Anxiety of Choice: Constructing a History of Intertextuality (from Bloom to the Contemporary Digital Age)

15h30-16h30 – Panel 3 – Réécritures féministes / Feminist Rewriting Aurélie Le Formal (Université de Paris Nanterre), Des mots de l’autre subis aux maux de l’autre choisis : perspectives pragmatiques dans le roman autothéorique de Chris Kraus,

I Love Dick

Pauline Schwaller (Université de Lorraine), Déconstruire l’autorité d’Homère par la révision féministe : L’intertextualité dans The Penelopiad de Margaret Atwood et A Thousand Ships de Nathalie Haynes

16h30-17h00 Pause café

17h00-18h00 – Panel 4 – Hybridation interne/Internal Hybridization

Izabela Sobczak (University of Poznan), Intimate Intertextuality: Modernism in Contemporary Women’s Writing

Céline Malraux (Université de Lorraine), Nature de l’intertextualité entre l’analyse littéraire et la création littéraire dans une thèse en recherche – création : embranchements, croisements, écartements

Dîner

Samedi 30 septembre

Matin

9h30-10h30 – Panel 5 – Après Dante / After Dante

Hugh Deasy (Concordia University), Between Dante and Bacon: Intertextuality and Learning in Samuel Beckett’s The Unnamable

Sylvain Belluc (Université de Nîmes), Dante in the Delta: Oil, War, Environmental Destruction, and the Divine Comedy

10h30-11h Pause café

11h-12h30 Panel 6 Empreintes modernistes / Modernist Traces

Kit Toda (Université de la Réunion), Fascist intertexts: Eliot’s Coriolan, Shakespeare’s Coriolanus and the Author as Text

Antoine Perret (Université Sorbonne-Nouvelle), T.S. Eliot Trendsetter, Jean Rhys Latecomer? Revisiting Good Morning, Midnight’s Modernism in Light of T.S. Eliot’s Poetry

Elsa Lorphelin (Sorbonne Université), Rewriting Rewritings: Intertextual Genealogies and Reception in a Postcolonial Context

12h30 – 14h30 Déjeuner libre

Après-midi

Table ronde – 14h30-16h

En présence et autour de Julia Kristeva (avec Nicolas Aude, Keren Mock et Marie-Christine Lala)

16h-16h30 Pause

16h30-18h – Panel 7 – Emprise / Hantise postmodernes / Postmodernist Influence / Haunting

Alwena Queillé (Sorbonne-Nouvelle), Bruits de fond : échos et déviations intertextuelles dans « White Noise » (2020) d’Emma Cline

Juliette Nicolini, Gilbert Sorrentino, troubadour clandestin : échos masqués dans les sonnets de The Orangery

Françoise Sammarcelli (Sorbonne Université), My Red Heaven de Lance Olsen – entre chambre aux échos et tableau hanté

18h Cocktail

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